Depuis le jardin du désert, l’architecte paysagiste Alexandre Tonnerre a créé une scène verte aux milliers de visages, parsemée de haies qui réservent des surprises.
Les montagnes Prunus, avec leur passage élevé, sont visibles dans le bassin adjacent aux plantes printanières tendres, avec les personnages de l’Euphorbe « Wulfenia » au premier plan.
Un espace en friche reconquis
Dans cette belle région d’Île-de-France de 500 mètres carrés, Alexandre Tonnerre a fait un réel effort de restauration.
D’autres trésors, comme Catalpa, que nous avons appelé « Le journal de la danse », ont été découverts lors du défrichement des terres.
Chaque jour, les propriétaires traversaient leur jardin pour sortir par la porte de la maison ; ils voulaient que leur jardin soit autant un espace de vie qu’un lieu de réflexion en se promenant chaque jour.
Alexandre Tonnerre a fait de cette piscine, installée par les anciens propriétaires, une des grottes de son projet en collant une structure en béton avec du bois teint et des perles de verre décoratives et en la plaçant dans la riche végétation.
Pièces avec des identités différentes
C’est pourquoi Alexandre Tonnerre a voulu créer un jardin plein de surprises que l’on peut découvrir en se promenant dans le jardin et à travers les saisons. Rythmant la terre avec des faisceaux de cornes, il a composé plusieurs « pièces » en plein air, chacune avec ses propres surprises.
Avec les haies, j’ai réussi à créer une mosaïque de climats différents.
Pour le jardinier, la structure du jardin est inextricablement liée à la couverture végétale. Si les râteaux sont ses points forts, il a également travaillé sur des masses de buissons et de plantes vivaces.
Des cornes coupées de près se combinent à des masses de plantes de formes et de couleurs différentes, et l’Acer Palmatum aux feuilles effilochées et à l’euphorie qui capte magnifiquement la lumière.
A gauche : Chaque haie cache un univers petit et différent ; par exemple, en marchant, nous découvrons un rhododendron japonais taillé en nuage.
A droite : De la maison, agrandie par un balcon spectaculaire, le jardin est visible dans toute sa richesse, à tout moment de l’année.
Une belle pente douce
Même Alexandre Tonnerre a dû faire face à la pente. Tout en accentuant le graphisme de son travail, les escaliers et les blagues facilitent la promenade dans le jardin.
Les marches en quartzite, recouvertes d’herbe et de plantes vivaces, accentuent le graphisme.
Vous pouvez aller à la page suivante pour lire la suite de cet article