La luciole, également appelée lamproie, est un insecte de la famille des coléoptères. Par conséquent, malgré son nom trompeur, il ne s’agit pas du tout d’un insecte. Elle se rapproche plutôt de la luciole. Comme les lucioles, les vers luisants ont un corps lumineux. Peut-être en avez-vous un dans votre jardin. Voici tout ce qu’il faut savoir sur les lucioles.
Caractéristiques de la luciole Genji.
Les larves de lucioles ont de petites pattes et des taches orange sur le côté du corps. La partie lumineuse est située sur le dernier segment. Les œufs sont également fluorescents. La taille des mâles et des femelles varie considérablement. Les femelles dépassent rarement 3 cm. Les mâles ont des yeux et des ailes et ressemblent davantage à des insectes. Ils émettent une lumière assez faible à partir de la dernière partie de leur corps. Les femelles ressemblent à des vers de terre mais, contrairement aux mâles, elles sont très lumineuses.
La lumière émise par cet insecte est due à l’effet de bioluminescence. Celui-ci est dû à l’oxydation des molécules de luciférine dans les cellules sous le contrôle de la luciférase. Le résultat de la confrontation entre la luciférine et la luciférase est l’émission d’une lumière froide et sans chaleur.
La forte lumière émise par la femelle attire le mâle. Le mâle utilise ses ailes pour se rapprocher de la femelle. La femelle réduit alors l’intensité lumineuse de son abdomen, libère des phéromones et s’accouple pendant plusieurs heures.
Lucioles dans le sol du jardin
En raison de la pollution lumineuse, il y a de moins en moins de lucioles dans les jardins. C’est pourquoi on les trouve surtout à la campagne. On les trouve généralement sous les troncs ou les pierres et dans les herbes hautes. Les larves des lucioles se nourrissent de mollusques. Les larves éliminent les limaces et les escargots des jardins et des potagers. Elles stockent également de grandes quantités de nourriture après que les adultes ont cessé de se nourrir.
Le déclin du nombre d’oryctéropes est difficile à expliquer. En effet, malgré les niveaux élevés de pollution lumineuse, la coupe des routes et l’utilisation de pesticides dans les villes, aucun de ces facteurs n’explique le déclin des espèces d’oryctéropes. Des enquêtes sont actuellement menées auprès des particuliers pour savoir s’ils ont des oryctéropes dans leur jardin.