«Ce DDT est toujours présent dans notre environnement après tout ce temps inquiétant», lit-on dans la déclaration.
«Les mésanges avaient au plus deux semaines et n’avaient jamais quitté leur nid… Ces résultats ne nous rendent pas heureux, d’autant plus que presque tous les nids contiennent un ou plusieurs pesticides», a écrit Gommers.
Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir un lien entre une mortalité accrue de la mésange et des pesticides. Il est à noter que certains des pesticides trouvés dans les nids présentaient un indice de risque «élevé» pour les oiseaux.
Est-ce que quelqu’un se souvient du « canari dans la mine de charbon? »