AccueilFleurs et arbustes7 plantes hôtes importantes pour les pollinisateurs

7 plantes hôtes importantes pour les pollinisateurs

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5. Viburnum

Les viburnums indigènes sont présents du sud de la Floride au nord du Maine, et jusqu’au nord-ouest du Pacifique. Beaucoup servent de plantes hôtes larvaires aux papillons et aux papillons de nuit, notamment le bois d’archer (V. dentatum), l’aubépine noire (V. prunifolium) et l’opossumhaw (V. nudum). Plus de 100 types de lépidoptères sont connus pour se nourrir de viburnum. En outre, les baies mûres sont très appréciées des oiseaux indigènes, au moins 35 espèces d’oiseaux les dévorant pour obtenir de l’énergie avant l’hiver.

6. Sarrasin sauvage

La renouée liseron prospère dans les espaces secs, du Mexique au Canada. Cette large distribution est une caractéristique merveilleuse, car beaucoup servent de plantes hôtes à divers papillons, papillons de nuit et skippers. Particulièrement appréciée des papillons bleus et des papillons porte-queue, la renouée liseron peut être le théâtre d’une compétition intense en raison de la diversité des espèces qui l’utilisent pour élever leurs petits. Essayez le sarrasin à fleurs rouges (E. grande var. rubescens), le sarrasin à feuilles de cendré (E. cinereum) ou le sarrasin de Californie (E. fasciculatum) pour commencer, car les autres espèces peuvent être difficiles à cultiver, même pour les cultivateurs expérimentés. En prime, le sarrasin sauvage fournit un nectar abondant et excellent pour les abeilles et les guêpes indigènes lorsqu’il est en fleur également.

7. Violettes

Les grands papillons fritillaires à paillettes sont un délice en été, et leur abondance relative est due à la vaste gamme indigène de leurs plantes hôtes larvaires : les violettes. Qu’il s’agisse de la violette bleue commune (V. sororia), de la violette des pieds d’oiseau (V. pedata) ou d’un autre type indigène, les papillons pondent leurs œufs près de la base de ces plantes, qui constituent une source de nourriture prête pour les jeunes chenilles. Les violettes bleues communes sont omniprésentes dans les pelouses de tout l’est de l’Amérique du Nord, aussi devrions-nous peut-être commencer à les considérer comme une présence utile plutôt que comme une nuisance à creuser/ pulvériser/éradiquer.

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