L’hiver est loin d’être un paysage ennuyeux et désagréable à regarder. Au contraire, de belles variétés de plantes prennent vie dans le jardin, que vous n’avez peut-être pas l’habitude de voir à d’autres saisons. Cela est possible, par exemple, en raison de leurs couleurs voyantes, de leur feuillage éclatant ou simplement de leur attitude. Cette liste vous donnera certainement des idées pour vos prochaines plantations. Voici six plantes incroyablement vivantes qui font leur apparition en hiver.
1) Euphorbe bleue.
L’euphorbe bleue est une belle plante rustique au feuillage bleuté qui complète le paysage hivernal. Elle a besoin d’un sol sec pour bien pousser.
2) Pape menthe.
Les feuilles rondes et argentées sont toujours une surprise. La menthe de Pope est une plante indigène qui peut très bien survivre dans des conditions froides et sèches. En fait, il est souvent utilisé dans les bouquets de fleurs séchées. Sachez que les limaces sont très friandes de cette plante.
3) Ronce tibétaine.
La mousse de cèdre du Tibet s’intègre parfaitement au paysage hivernal en raison de sa couleur blanchâtre et de son aspect givré. Les feuilles légèrement argentées reflètent la lumière et font briller le jardin.
4) Cornouiller orange.
Le cornouiller Cornus sanguinea ‘Winter Beauty’ est différent des autres variétés de cornouillers. Il devient rouge au milieu de l’hiver et ses branches aux couleurs vives égayent le paysage. En outre, il préfère les sols secs et calcaires.
5) Sedum ‘Herbstfreude’.
L’avantage des sedums est qu’ils nécessitent peu de soins. Elle est compacte et ses inflorescences brunes sont résistantes à l’hiver. Il a également la chance de produire des fleurs roses au début du printemps.
6) Calamagrostis ‘Karl Foerster’ (Karl Foerster).
Les touffes de cette plante herbacée donnent du volume au jardin. Veillez à couper les chaumes secs en février, car les pousses poussent rapidement et sont vite recouvertes par la plante.
Les plantes lumineuses : comment fonctionnent-elles ?
Tout d’abord, ces particules sont mises en suspension dans un liquide. La plante est ensuite immergée dans cette solution et mise sous pression. Ensuite, le stroma (minuscules pores sur la face inférieure des feuilles) s’ouvre, permettant aux nanoparticules de pénétrer. La luciférine réagit avec l’enzyme luciférase et émet naturellement de la lumière.
Une molécule appelée coenzyme A facilite également ce processus en éliminant les sous-produits susceptibles d’inhiber l’activité de la luciférase.
Michael Strano, l’un des chercheurs impliqués dans l’étude, publiée dans Nano Letters, explique sur le site web du MIT : « L’idée est de créer une plante qui fonctionne comme une lampe de bureau – une lampe qui n’a pas besoin d’une prise électrique.
Cette technologie pourrait également être appliquée aux sources de lumière intérieure à faible luminosité et à la transformation des arbres en lampadaires.
Actuellement, la quantité de lumière émise par un cresson mature de 10 cm de haut représente 1/1000e de ce qui est nécessaire pour une lecture précise, mais les ingénieurs sont optimistes et pensent pouvoir augmenter à la fois l’intensité et la durée.
La durée de l’exposition à la lumière, qui était de 45 minutes au début de la recherche, est maintenant de quatre heures. Notre objectif est de traiter la plante lorsqu’elle arrive à maturité afin qu’elle fonctionne tout au long de sa vie. Notre travail va dans le sens de ce qui deviendra un jour un véritable « lampadaire » naturel. Ce ne sera rien de moins qu’un arbre traité », déclare Michael Strano.
L’équipe de recherche cherche actuellement de nouveaux moyens de faciliter l’incorporation des nanoparticules sans immerger les feuilles, et espère répéter ce processus sur des plantes plus grandes comme les arbres. Ils travaillent surtout à la mise au point de techniques qui permettront aux plantes de continuer à recevoir de la lumière tout au long de leur vie.